Un article simple et efficace, qui explique et déculpabilise l’impact émotionnel exceptionnel que nous pouvons ressentir suite aux événements du 22 mars.

 

Il invite également à une prise de distance par rapport aux médias, nous aide à trouver une distance juste entre l’information et la surexposition à l’image, potentiellement traumatisante. Et précise comment préserver les enfants.

 

Il s’agit, en somme, d’éviter d’entretenir l’angoisse due au choc et de favoriser la résilience, le retour à la vie. Cela nécessite éventuellement un effort, mais celui-ci est vital.

 

Attentats : pourquoi nous avons tant de mal à décrocher de l’actualité